OpenAI montre le côté ironique de l’IA avec un « coulisses » généré par Sora

OpenAI montre le côté ironique de l’IA avec un « coulisses » généré par Sora

Avec le bêtisier de Sora, OpenAI surprend une fois de plus le public.

La vidéo est une parodie d’Hollywood dans les coulisses, entièrement générée avec la vidéo IA Sora, et montre des acteurs numériques faisant des erreurs, riant et interagissant d’une manière étonnamment réaliste.

Un coulisses… ça n’existe pas

Le film s’ouvre sur une scène surréaliste : un acteur en cape demande « plus de vent sur le plateau », aussitôt submergé par une soudaine rafale. S’ensuivent des cascades maladroites, une girafe curieuse léchant un interprète et des canards géants envahissant la scène, tandis que les techniciens, eux aussi synthétiques, s’effondrent de rire.

Un mélange parfait de réalisme et d’ironie, qui joue avec les limites entre simulation et spontanéité.

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Une démonstration des capacités avancées de Sora

En plus de la séquence humoristique, le bêtisier OpenAI Sora a une fonction technique précise : montrer les progrès du modèle en génération vidéo avec audio intégré. Désormais, chaque vidéo créée avec Sora peut inclure des dialogues, des sons ambiants et des rires synchronisés directement avec la scène, rendant le résultat encore plus naturel et immersif.

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Quand l’erreur fait partie du spectacle

OpenAI utilise l’humour pour mettre en évidence une vérité plus profonde : même dans l’univers de l’intelligence artificielle, l’imperfection peut générer de l’empathie. Avec cette vidéo, Sora montre qu’il peut non seulement imiter le langage visuel du cinéma, mais aussi capturer la spontanéité émotionnelle qui humanise les moments « hors scénario ».

Sora et l’avenir de la vidéo générative

Le bêtisier marque une nouvelle étape pour Sora, qui vise de plus en plus à s’intégrer dans les processus créatifs de la production vidéo, du cinéma et de la publicité.

Avec la possibilité de créer des scènes complexes, de gérer les effets, les mouvements et désormais même un son réaliste, la frontière entre réalité et génération artificielle devient de plus en plus floue et, parfois, plus amusante que jamais.